Moi
Nom: Paradis Perdu
Surnom: Elle n'en supporte aucun.
Genre:Femelle
Age: Quatre ans
Clan: Forêt
Rôle: Lieutenante
Espèce: Loup
Caractère: Paradis Perdu est sage et sais toujours trouver des solutions. Mais le problème, c'est qu'elle ne parle jamais, elle est froide et très distante. D'un naturel solitaire, elle dis rarement quoi que ce soit. Elle semble insensible, car elle ne rit jamais, ne pleure jamais, ne se fâche jamais. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne participe pas aux réunions de clans ou aux assemblées. Sa principale qualité et que la jeune louve sait toujours trouver les mots aux bons moments, même si ils sont rares. Elle est calme et posée, et même s'il n'est pas agréable de vivre avec une louve qui ne dit mot, si personne ne lui parle elle ne dérange personne. Cette louve n'est pas du tout curieuse et ne cherchera pas à tout comprendre. Elle obéit sans rechigner aux ordres de son chef de clan, ce qui en fait une guerrière redoutable. Mais sous ce qui semble une carapace insensible, notre louve adore regarder les oiseaux. Elle trouve si gracieux leur envol qu'elle-même veut devenir un volatile pour pouvoir s'envoler au loin. C'est d'ailleurs son rêve. Elle pense qu'à force d'obéir au clan des Etoiles, elle finira par avoir des ailes. Elle est très loyale et fidèle, mais seulement pour arriver à ses fins. Une fois qu'elle en aura fini, elle pense qu'elle s'en ira voler. Mais comme physiquement aucune aile ne lui poussera... Véritable encyclopédie, elle est rusé et très intelligente, dommage qu'elle ne mette pas son intelligence au service de son clan. Furieuse guerrière, elle est très puissante. Heureusement, elle garde toujours ou presque son sang froid et il faut plus qu'une petite provocation pour gagner le combat. Mais d'un autre coté, elle n'accorde sa confiance qu'à certaines personnes pour quelques raisons tellement rare qu'elle se méfie de tout le monde maintenant. Elle est prudente, et, pas comme les autres curieux, ne s'aventureras jamais en lieu ennemi. Elle tient trop à rester en vie pour la risquer. Cependant, elle est aussi d'une impitoyabilité sans égal: La louve ne sauveras pas la vie des chevaux en danger et des loups du clan ennemi, quel que soit leur état ou leur age. Même un pauvre poulain mal en point, a qui n'importe qui sauverait la vie, elle s'assiérait et le regarderait mourir. Un petit coté sadique s'empare alors d'elle. Elle haït et méprise ceux qui ne sont pas de son clan et ferais tout pour les tuer et que son clan ait une suprématie titanesque et que personne ne leur résiste, mais comme elle ne le dit jamais, personne ne peut le savoir. Réservée et simpliste, la jeune louve peut s'adapter à toutes les situations. Sa capacité incroyable à tenir bon et avancée s'explique facilement: Elle ne s'attache à personne de crainte de faillir si elle lui est arrachée. C'est un vrai puzzle et pour la comprendre, il faut soit avoir un don, soit être un sorcier, soit avoir passé trois siècles au moins. Parce que sa ;logique est incompréhensible. Personne ne sait ce qu'elle pense, et cela en gêne plus d'un. Personne ne peut lui parler sous peine de lui arracher un grognement désagréable et un regard tueur, mis à part son chef de clan. Personne en qui elle puisse beaucoup d'espoir, surtout pour son rêve et but ultime. Louve très généreuse cependant avec les loups de son clan, elle n'hésite pas pendant les périodes de crises chasser furieusement en se levant à l'aube et se couchant quand le ciel et noir, chassant sans manger et sans s'arrêter, pour que son clan tienne. Parce qu'elle déteste l'idée qu'il y ait des morts dans son clan. Mais encore une fois, il faut être tellement attentif à ce genre de petits détails que souvent personne ne le remarque. Paradis Perdu porte ce nom pour quelques raisons: Fort petite, elle était un vrai paradis; joyeuse, vive et pleine d'avenir gai, une jolie petite louve qui remontait le moral a tout le monde, compréhensive et qui tenait beaucoup aux autres, s'entraînant avec sa fratrie pour devenir une guerrière digne, et armée d'une douceur et d'une tendresse sans pareille, on l'avait nommé Petit Paradis. Mais, apprenti, sous le nom de Nuage du Paradis, un évènement tragique avait beaucoup affecté sa santé mentale. Ce petit Paradis, et cette étincelle dans ses yeux s'étaient éteints, laissant place à un terrible sentiment de solitude et d'inutilité. Ainsi, elle avait passé en l'espace de quelques semaines de magnifique Paradis à la perte d'un Paradis. Et ainsi, elle perdit tous ses amis. Heureusement, la jeune louve avait une ténacité sans égal. Ce qui lui permit de tenir bon et de continuer à vivre, bien que dans des conditions qui en ferait pleurer plus d'un. Elle ne parle à personne, se méfie de tout le monde. Mais elle tient bon. C'est ce qui rend quelque part cette louve exceptionnelle. On la voie souvent pensive, dans la lune. Et si l'on a le malheur de la déranger, elle vous fusille du regard, et grogne furieusement. Si vous la provoquez, elle vous fixera de plus belle avec un sourire carnassier. Si vous la provoquez, elle n'hésitera pas à continuer ou à aller plus loin, mais comme on ne plaisante pas avec une lieutenante, personne ou presque n'ose la déranger quand elle réfléchit. Souvent, elle pense à être un oiseau. Et pourtant, elle est condamné pour le moment sur la terre. Elle ne respecte pas tellement que ça sa chef, car elle n'hésite pas à lui grogner dessus. Mais ce n'est arrivé que rarement. Elle est astrophobe, c'est à dire que la jeune Paradis Perdu a peur de la foudre. Ou qu'elle soit, quand la foudre frappe, elle n' a plus de volonté, elle se recroqueville et couine. C'est le seul moment ou elle fait part de toutes ses faiblesses. Elle se sent nostalgique quand la nuit et éclairée par des étoiles scintillantes et qu'elle set réveillée. Elle se sent bien. Elle ferme les yeux et se rappelle de tout: Ses parents lui montrant le ciel, lui expliquant ce que sont les étoiles, le ciel, la nuit... Et elle, écoutant, émerveillée. Mais ce souvenir se brise souvent quelques instants plus tard. Et elle revient à la triste réalité. Ce qui lui plombe le moral, mais personne ne voit la différence. Elle soupire souvent, comme pour évacuer ses sentiments. Mais elle en reste toujours que plus renfermée sur elle-même. Elle n'aime donc pas les autres clans, et n'hésite pas à foncer dans le tas dès qu'elle en voit sur son territoire: Une rage folle s'empare alors d'elle, elle devient presque un monstre impitoyable, sanglant et furieux. Il faut que tous soit morts pour la calmer. Heureusement, elle vérifie si ce ne sont pas des messagers. Elle n'aime pas se vanter, et s'il on ne lui demander pas, les solitaires ne sauront jamais que c'est une lieutenante. Elle se fiche également de son honneur. Ce n'est que quelque chose qui peut nous apporter honte, haine, mépris et désespoir. Oh, et c'est pour cela qu'elle s'en fiche. "On s'en fiche de ce que pensent les autres, non? Ce n'est pas eux qui vont nous servir à quoi que ce soit. Alors, l'honneur ne s'y retrouve plus là dedans, et je sais de quoi je parle." Encore une pensé étrange de la louve. Elle garde souvent son sérieux, dois-je ajouter. Elle n'est pas du genre à plaisanter ou a faire des blagues. Non, elle c'est plutôt le genre de louve qui se tait et qui observe. Elle guette le moment ou intervenir, se souvenant de tout. C'est pour cela que c'est une conseillère fiable. Elle considère les solitaires tout autrement que les clans: Ils ont choisit de vivre seul. Pourquoi? Parce qu'elle veut des ailes et n'avoir aucune responsabilité. Les solitaires chassent pour eux seuls et font ce qu'ils veulent. Pas d'ordre à suivre, pas de bouches à nourrir... Oui, ça c'était une vie. Mais il faut travailler pour gagner sa liberté, enfin elle le croit. C'est triste mais c'est ainsi. Elle rêve de liberté, oh, tant de liberté... Un monde sans loi, sans devoirs ou d'obligations, non, un monde fait de droits, un monde forgé bout à bout par qui le veut. Une vie sans clan. Mais même si elle fantasme là dessus, elle ne le dit encore une fois à personne, et tout le monde croit qu'elle a comme ambition de prendre la place du chef par exemple. En bref, une femelle mystérieuse qui cache bien son jeu...
Histoire: Il était une fois dans une obscure forêt de sapin et d'arbres d'hiver une famille de loups. Ils vivaient dans la misère avec leurs trois enfants qu'ils arrivaient à peine à nourrir, seuls face au froid. La mère était la plus fragile de tous. Le père allait chassait, mais la mère faiblissait de jour en jour, et rien ne semblait pouvoir stopper sa terrible douleur qui l'assaillait encore plus fort de secondes en secondes. Elle savait que même si elle mangeait encore et encore, elle s'affaiblirait encore plus. Le père avait du mal à gérer la chasse et les trois enfants, si bien qu'un terrible jour, le plus faible et lent se fit dévorer vif par un ours. La seule louve de la portée l'avait vu, elle, se faire dévorer lentement. Alors, elle retourna, les cris de son frère résonnant dans la tête vers ses parents tout raconter. Un jour sa mère, sentant la mort venir, dit alors a ses enfants qu'ils leur fallait partir vers les clans. Le père acquiesça. Le lendemain, le soleil se leva sur le corps sans vie de la magnifique femelle impuissante face à la terrible épreuve qu'elle n'avait pas surmonté. Malheureusement, elle était morte tôt dans la nuit. Le père ne tient pas le choc longtemps et, de rage, ne sut ou poser ses petits. Il en tua un, le dernier frère de la louve. La louve avait à nouveau vu une gueule avec des rangés de crocs sanguinolents la menacer, elle avait tout vu, les horreurs qui s'étaient produites. Elle n'avait que quelques mois, deux ou trois, et courut de toutes ses forces. Son père mt un sacré bout de temps pour se rendre compte que la petite n'était pas, comme il l'avait prévu, restée figée de peur. Il abandonna ce qu'il resté du pauvre louveteau à la peau déchiquetée, démantelé, démembré violemment comme si il l'avait mérité, alors qu'il n'avait fait que vivre. La petite trouva refuge dans une grotte. C'était la première qu'elle vit et a vrai dire elle ne réfléchit pas en s'y tapissant. Le père y parvint, mais une énorme pierre lui déchira le museau, il perdit un œil, et son odorat. Il poussa un hurlement terrifiant qui résonna, mais un hurlement à vous glacer le sang, vous figer sur place. Avec son unique œil, il scruta l'obscurité, le visage déformé par sa folie. Son museau saignait abondamment, on voyait ses veines qui étaient ouvertes, il tapissait de son sang les sol et sa fourrure était écarlate désormais. La petite, s'adaptant aux ombres, fonça dans les pattes de son père, qui bascula en arrière, et la grotte s'effondra. Le père hurla de rage, la petite se glissa sous son corps, et elle reçut plein de pierres. Mais le corps de son père avait tout supporté. Elle s'en tira, ignorant s son père respirait encore, et a vrai dire, ne voulant pas le savoir, elle s'en tira correctement, avec les muscles douloureux. Elle s'enfuit, et trouva le clan de la Forêt, qui recueillit la louvette. Qui n'aurait pas eut pitié d'une petite louvette couverte de sang, essoufflée et a bout de force? Elle s'évanoui, et à son réveil, ne se souvint de rien. Du moins, pour un premier temps. Joyeuse, pleine de vie, on la nomma Petit Paradis.Elle faisait la joie de sa mère adoptive, elle amusait les autres louveteaux et sa vivacité en étonnait plus d'un. Heureusement que la petite ne se souvenait de rien. Mais une nuit sans étoile, noir comme les ténèbres, un ciel couvert de nuages épais et pleins, apparut lentement. Et lorsqu'elle fut là, la jeune apprentie désormais et bientôt guerrière a connu le tonnerre. L'impitoyable foudre qui s'abattait sur la terre. Rien que de penser d'être écrasé à cause de la foudre, la petite se recroquevilla et gémissait, comme impuissante face à cela. Tout le monde dormais à poings fermés, et la petite ne fit que gémir pendant quelques temps, jusqu'à ce qu'une ombre se dessine. Elle plissa les yeux. Elle se rappela. Une larme coula. Elle se rappela de tout. De sa douleur, de sa souffrance, de la haine qu'elle avait éprouvé pour ce monstre qui avait pris possession de son père. De sa tristesse, de sa colère, de la rage qu'elle avait éprouvé quand sa mère l'avait quitté. Et maintenant, un flot d'émotions montait en elle, le mensonge avait été utilisé contre elle, elle n'était pas d'ici, non, on lui avait mentit toute sa vie, on l'avait pris pour une idiote. On l'avait trahit. Elle semblait inconsolable. Le tonnerre avait disparu. Elle vit un oiseau aux couleurs rouges, d'un rouge vif, qui s'envolait au loin. Sans paroles, elle savait pourtant qu'il était heureux. Une sorte d'instinct qui lui permettait de le savoir. En fait, ça devait être encore une folie. Mon dieu, elle perdait la tête. Elle baissa les yeux, puis refixa l'oiseau, les yeux brillant d'une flamme magnifique dansant furieusement, semblant se débattre. Elle voulut le rejoindre, mais elle ne pouvais pas. Non, elle, elle n'avait pas d'ailes. Elle voulait en avoir. A tout prix. Le Clan des Etoiles, ces personnes qui lui donnaient la force de se battre, pourraient-ils lui donner des ailes? Ils l'obligeaient à obéir aux stupides ordres, sans faillir, et tout ça pour quoi? Alors, ils pourraient peut-être lui donner des ailes... Sans le savoir, elle s'y mit à y croire. Elle changea brusquement en une nuit. Elle se renferma, ne parla plus a personne et resta dans la lune. Elle devint quelque part un peu méchante. Sans pitié envers les autres clans, elle est devenu différente des autres. Les loups la haïssaient tous la méprisaient. Elle connut une période fort dommage: Elle gaspilla deux années à souffrir. On se moquait d'elle, c'était un petit peu comme l'Oméga, sauf que personne n'osait la battre, parce qu'elle était asser forte quand même. Elle se forgea peu à peu une carapace qui ne pouvait pas être ôtée, rien ne la traverser et personne n'essayait. Sa mère adoptive a pendant quelques jours essayé. Cependant, comme tous les autres, elle avait vite baissé les bras. Ce qui cependant la démarqua des autres, c'est que chaque jour elle se défoulait sur ses proies, ce qui en faisait une fantastique chasseuse. Elle possédait une force de frappe et une vitesse haute, mais niveau agilité, elle était vraiment nulle. Mais a par ce petit défaut, c'était une bonne guerrière.
Un jour, elle devint lieutenante. Paradis Perdu est désormais un louve haute gradée dans son clan, qui vit pleinement sa vie, espérant dans le désespoir que des ailes lui poussent. C'est tellement stupide. Mais c'est l'espoir qui la pousse à toujours avancer. Encore une stupide valeur que les êtres vivants maîtrise tant...
Physique: C'est une louve au pelage gris. Paradis Perdu est une louve dont la première chose qui se remarque grâce à ses yeux brillants et profonds. Ses yeux inspirent un regard froid, renforcé par le bleu de glace dans ses yeux. Parfois, on a du mal à distinguer ses pupilles noires. On peut dire que c'est une belle louve, mais pour cela encore faut-il la comprendre. Elle a des crocs pointus, ses deux canines le sont plus. Ses pattes sont puissantes et ainsi lui procurent une grande vitesse, en avançant en se propulsant avec ses pattes, une façon de courir qui la différencie des autres. Cependant, elle à un corps fin et élancé, sa puissance lui est surtout produite par ses crocs et ses griffes qui s'accrochent particulièrement bien à la peau. Elle sait se battre et bouge bien dans les combats. Niveau chasse, comme elle s'acharne sur ses victimes, il n'est pas étonnant de le voir la gueule pleine de sang. On peut souvent voir une expression d'indifférence, un visage de marbre, n'offrant aucune émotion, condamnant la louve grise à ne jamais être comprise. Elle a surtout peur de montrer ce qu'elle ressent. Ce serait trop dangereux.
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